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Lorsque l’on pense aux murs-frontières et à l’Europe, on pense forcément à ce « rideau de fer » qui a divisé l’Europe pendant la guerre froide.
Pourtant, l’Europe des murs n’a pas disparue : loin s’en faut ! Pour le voir nous irons du côté des enclaves espagnoles au Maroc, Ceuta et Melilla et à la frontière entre la Grèce et la Turquie, le point de passage de près de 90% de l’immigration clandestine qui entre en UE.
Et pourtant, s’ils sont loin d’avoir démontré leur capacité à contenir les flux de migrants ; leur pouvoir symbolique est très fort. « Ils fonctionnent comme les icônes d'un pouvoir souverain et d'une nation préservée » écrivait la philosophe américaine Wendy Brown dans son ouvrages « Murs » (2009, les prairies ordinaires).
Lorsque l’on pense aux murs-frontières et à l’Europe, on pense forcément à ce « rideau de fer » qui a divisé l’Europe pendant la guerre froide.
Pourtant, l’Europe des murs n’a pas disparue : loin s’en faut ! Pour le voir nous irons du côté des enclaves espagnoles au Maroc, Ceuta et Melilla et à la frontière entre la Grèce et la Turquie, le point de passage de près de 90% de l’immigration clandestine qui entre en UE.
Et pourtant, s’ils sont loin d’avoir démontré leur capacité à contenir les flux de migrants ; leur pouvoir symbolique est très fort. « Ils fonctionnent comme les icônes d'un pouvoir souverain et d'une nation préservée » écrivait la philosophe américaine Wendy Brown dans son ouvrages « Murs » (2009, les prairies ordinaires).